DE NANTUA A OYONNAX : les difficultés d' une mise en place institutionnelle ...Un engagement culturel depuis 1970.

Ce projet est envoyé au conseil général sous couvert du Maire qui en a connaissance mais ne le transmet pas! Une copie est remise par mes soins directement au vice-président d'alors M. MORIN qui a certainement dû archiver mon projet puisque jamais personne n'en a entendu parler.
Aujourd'hui,20 ans après on parle de nouveau d'un schéma départemental de l'enseignement musical!.
L'intervention du ministère (rapport) dessert fondamentalement les objectifs culturels de la municipalité en place en 1986 (l'objectif annoncé est la suppression de 100 postes d'employés communaux dès 1983). Elle va donc se servir de quelques professeurs peu scrupuleux avides de pouvoir et cupides voire intrigants pour lesquels quelques promesses ont été faites en échange d'allégeance.
Cela sera vérifié avec les différentes directions qui depuis 20 ans n'ont jamais promu ce projet départemental ni les orchestres qui existaient à OYONNAX en 1987!
Il ne reste que peu d'ensembles en 2008 et pas plus en 2015 ..........que sont devenus les élèves formés depuis 30 ans?.
Les élus et les professionnels ont de lourdes responsabilités mais je dénonce aussi l'apathie générale du consumérisme local.
Cela arrange beaucoup de monde d'avoir un bel "outil" culturel (sans équivalent départemental) mais cela n'est pas suffisant pour assurer un développement artistique dynamique et réfléchi!
Il n'y a ni synergie ni ambitions culturelles.
Les directions successives du conservatoire, toujours national, ont été récompensées pour leur relatif immobilisme. Les personnels concernés ont tous été promus rapidement à la hors classe des professeurs certifiés! Cela pourrait être qualifié de corruption différée mais constatons qu'en surpayant 2 ou 3 responsables cela coûte moins cher que d'avoir un projet culturel musical global au service de l'enfance et de la population!
En 2008 puis 2015, la santé musicale de la lyre industrielle est-elle meilleure qu'en 1985 ? (voir lettre de M.COTTET-EMARD)